L‘aire était chaux, presque suffocant, je trempais mes pieds dans le petit lac. Terredala est une bien paisible zone, mais bien trop proche des vents de feudala. J’ai entendu dire que les ingénieurs panda d’Airdala avaient fabriqués une grande éolienne pour contrer ces vents chaux, ingénieux. Je posa mes mains derrière mon dos et laisse ma tête en arrière, fermant les yeux, je sentais la chaleur dans mon cou légèrement velu. Il faisait bon, très bon, quand soudain j’entendis la douce voix de ma mère:
<< Obi! Obi! Mon chéri, viens m’aider s’il te plait!
-Oui maman, que veux tu?
-Je dois préparer des affaires pour ton père, la milice de bonta vienne de nous envoyer un message il est appelé d’urgence aux portes de Bonta.
-Mais où est Papa?
-Vautrer sur la canapé, encore ivre…
-Encore…mais, il est déjà 14h et ça fais depuis 6h du matin…
-Tu connais ton père…
-Oui…je sais…
-Aller va chercher du lait de bambou au village pour le réveiller
-Oui maman.
Ma mère, Gwendoline Funchtrudelf Litatchi Dupont Délitchangue Bistrot était une pandalette souriante, joyeuse, elle était très habiles de ces doigts et avait une grande expérience en matière de pierre précieuse et bijoux. Quand à mon père, Djorbano Strognie Garciam Golom Golom Lang Bistrot était un mineur expérimenter et s’avait dénicher les mines les plus luxueuses. A tout deux ils ouvrirent leur bijouterie: La bisous Trie Bistrot.
Je crus comprendre que c’était d’une urgence capital, ni une ni deux je pris le chemin vers le centre de terrdala avec ma monture pourpre. Après une dizaine de minutes à parcourir les sentiers sec et rocheux de Terrdala j’arriva au centre, je vis plusieurs amis qui me proposèrent de venir boire un coup, mais j’avais à faire. Je remplis le saut de lait de bambou et repris la route vers ma maison. A quelque mettre de chez moi je vis trois dragodindes attachées à un arbre, je scrutais l’horizon d’un peu plus loin et vis à l’entrée de ma maison trois milicien de bonta prendre mon père et le mettre sur une monture. A ce moment même je galopais à une vitesse extravagante pour dire un dernier « au revoir » à mon père et lui donner le saut, mais à peine arriver qu’ils avaient utilisés une potion de bonta et avaient disparu. Ma mère était assise sur le banc, elle regardait le ciel. Je m’installais à côté d’elle et la pris dans mes bras.
« Il reviendra Papa, il reviendra…
Elle ne disait rien, elle ne faisait rien à par fixer droit devant elle. Puis des larmes de vodka coulèrent sur ces joues, je lui essuyais ces perles avec mon doigt et lui embrassa la joue. Puis elle s’endormit sur mon épaule, je la prit dans mes bras et l’installai sur le lit. Quand à moi je pris une chope et m’assis sur le banc à contempler le ciel bleu. Puis lorsque vain la nuit, j’allai me coucher et voir dans la chambre de ma mère, qui dormait sagement. Une semaine plus tard deux membres de la milice de bonta vinrent frapper à la porte, ma mère ouvrit la porte et les laissa rentrer.
-Bonjours Madame, je viens ici pour vous apporter une triste nouvelle…Votre mari est mort lors d’une défense contre de grand guerrier Brakmarien, nous sommes désolé, c’était un grand et preux pandawa, toute mes condoléances. Ma mère s’écroula, les larmes coulèrent telle un ruisseau et elle m’ordonna d’aller me coucher. Le lendemain matin, la maison était vide, totalement vide… Et un papier était poser sur la table du salon, je me servis un bol de whisky et m’assis sur une chaise et commença la lecture…
« Obi, la vie n’est pas forcément celle qu’on à toujours rêvé d’avoir, elle vient quand elle vient et part quand elle part, tu es grand maintenant, tu as de l’expérience, je t’ai laisser un équipement pour débuter dans ta vie qui est dans mon armoire. Je part seule, j’ai besoins de finir seule, la mort de ton père ma laisser meurtrie, vulnérable inoffensive, désemparer et coupable. Tu m’as beaucoup aidé, mais il est temps pour moi de terminer ce que j’ai commencé. Je souhait ton bonheur, tu es courageux et fort. Tu as de grande capacité, tu es à présent mis à l’épreuve, tu vas devoir te débrouiller seule, amélioré tes capacités, tes sorts et tes caractéristiques, faire des rencontres, travailler, te faire des kamas et découvrir le monde des 14. A toi l’avenir, tu le tiens avec toi, ne le laisse pas s’échapper. Je te fais confiance. Que la chopine du dieu pandawa te garde mon fils, prend soin de toi. Je t’aime.
Maman. »
Elle était partie…je ne la reverrais plus, plus personne… Mon cœur se tordais, les larmes ne coulais pas, « courageux et fort, c’Est-ce que je suis, alors ne flanche pas » disais-je . J’ouvris l’armoire ou était entreposé la panoplie Terredala que ma mère m’avait garder, Je m’habillais, pris des vivres et des kamas, accrocha ma hache derrière mon dos et pris le chemins en direction du pont rejoignant Pandala et les champs d’Astrub.
Dim 19 Juin - 15:04
